Ici, vous trouverez une revue de presse concernant les programmes du réseau MEnS et la reprise d’étude.
Étudiants exilés : un plaidoyer porté par l’Université de Lille pour créer un statut dédié
Faire reconnaitre le statut des jeunes en exil, « afin que soit formalisés et généralisés, non seulement le parcours académique, mais aussi les aspects administratifs, en lien avec les préfectures, et services sociaux » : tel est l’objectif du plaidoyer porté par l’Université de Lille, selon son président Régis Bordet, qui le dévoile le 16/10/2024.
Au sein des universités françaises, Le Réseau MEnS agit pour l’accueil des exilés
« Notre première valeur est l’accès inconditionnel à l’enseignement supérieur. » C’est ainsi que Camille Hanon résume la démarche du Réseau MEnS – Migrants dans l’enseignement supérieur –, dont elle est la directrice...
Loi Immigration : un texte inacceptable
Le Réseau MEnS (Migrants dans l’Enseignement Supérieur) demande la non-promulgation de la loi Immigration adoptée le 19 décembre 2023 par le Parlement, au nom des valeurs d’accueil que nous défendons pour notre pays et pour nos universités.
Sciences Po, Dauphine, les Ponts… Comment ces écoles aident des réfugiés à s'intégrer
Présentation du Réseau MEns, du dispositif DU Passerelle et des formations Passerelle mises en place à l'université Paris Dauphine, l'École nationale des ponts et chaussées, SciencesPo Paris, l'Ecole nationale d'ingénieurs de Brest et Burgundy School of Business (BSB).
Comment l’enseignement supérieur s’est mobilisé pour accueillir les jeunes Ukrainiens
Plus de 2 000 étudiants déplacés d’Ukraine ont rejoint la France depuis l’invasion russe. Les établissements concernés estiment avoir fait preuve de réactivité face à cet afflux, notamment grâce aux leçons tirées des crises syrienne et afghane.
Guerre en Ukraine : malgré le manque de moyens, l’accueil des étudiants s’organise
Dès le déclenchement de la guerre en Ukraine, les écoles et les universités françaises se sont mobilisées pour soutenir les étudiants affectés par le conflit. Encouragées par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche (MESR), elles ont agi dans l’urgence et puisé dans leurs fonds propres sans attendre des aides dont la promesse semblait assurée. Elles les espèrent toujours.
Rentrée pour les étudiants d’Ukraine : « Le ministère de l’enseignement supérieur, pour l’heure, ne s’est engagé sur aucune aide financière aux universités »
Alors que 600 étudiants ukrainiens sont prêts à s’inscrire à la rentrée en septembre, ceux-ci ne vont bénéficier d’aucune aide du gouvernement, dénonce, dans une tribune au « Monde », un collectif animé par Mathieu Schneider, président de réseau Migrants dans l’enseignement supérieur (MEnS)...
Étudiants ukrainiens : « Le MESR ne donne rien aux universités » (M. Schneider, Mens et Unistra)
« Au niveau national, un demi-million d’euros suffirait à accueillir les étudiants ukrainiens sur le territoire. D’après nos estimations, il y aurait environ 2 000 étudiants en France mais il n’y en a que 700 qui ont une place. Si le gouvernement nous avait aidés, nous aurions pu tous les accueillir »
Projet UNIV’R : 21 jeunes réfugiés arrivés en France pour étudier en Master
21 étudiants réfugiés dans 8 pays de premier asile et originaires de 7 pays d’Afrique subsaharienne ont fait leur rentrée universitaire en France. Ils ont été accueillis dans 12 établissements d’enseignement supérieur dans le cadre du projet UNIV’R, porté par le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, et l’Agence Universitaire de la Francophonie, avec le soutien du réseau Migrants dans l’Enseignement Supérieur (MEnS).
Diplômés afghans en France : entre intégration réussie et dégringolade sociale
Depuis la chute de Kaboul, le profil du demandeur d'asile afghan évolue : plus de femmes, plus de diplômés. Comment vont-ils s'intégrer ? Nous avons remonté le temps et retrouvé des jeunes diplômés afghans arrivés en France il y a quelques années pour voir ce qu'ils étaient devenus.
La main tendue de l’université aux enseignants et étudiants en exil
Il est spécialiste des littératures kurde et turque, mais c’est aussi un passionné des belles lettres françaises. Enseignant kurdeenexil,Temo, 48ans, cite parmi ses auteurs préférés RenéChar, mais aussiPaulValéry.Coïncidence émouvante : c’est le nom de l’université qui luiouvre sesportesdepuis septembre dernier...
22 étudiants en exil sont accompagnés par l’Université de Limoges, dans le cadre d’une formation intensive
Depuis la rentrée, l'Université de Limoges dispense une formation intensive de français à 22 étudiants en exil. Pour ce groupe aux profils variés, il y a par exemple deux réfugiées ukrainienne et un ingénieur soudanais. L'objectif est de s'insérer dans un cursus universitaire ou la vie professionnelle. Il s'agit aussi de s'intégrer dans la société.
La leçon du cœur de Patricia
Patricia Gardies est professeure de français à l’université Paul-Valéry. Elle donne des cours à des étudiants en exil, des migrants qui aspirent à une vie meilleure à laquelle elle contribue.
Exilés. À Paris-III, les réfugiés retrouvent les bancs de la fac
Un collectif d’enseignants et d’étudiants de l’université se mobilise depuis le mois d’octobre pour permettre la réinsertion de réfugiés dans l’enseignement supérieur. Difficile alors que le ministère de l’Intérieur tente de multiplier les expulsions.
Guerre en Ukraine : « Continuons à former les étudiants que l’Ukraine avait choisi d’accueillir »
Un collectif de présidents d’université et de maîtres de conférences s’alarment, dans une tribune au « Monde », sur le sort réservé aux étudiants étrangers présents en Ukraine qui sont en danger, quelle que soit leur nationalité, et plaident pour un accueil large dans l’intérêt de la France...